15 articles publiés en mai 2010

31/05/2010

12 restaurants décrochent le Label « Lyon, ville équitable et durable »

Lyon ville équitable et durable Daniel et Denise, Le Gourmet de Sèze, le Chalet gourmand, les Oliviers, 33 Cités, Alex, Le Plato, le Restaurant Steff, L’Auberge de l’île, Soline, Le Fleurie, et la Maison Villemanzy  sont les premiers restaurants à décrocher le label « Lyon, ville équitable et durable » premier label municipal de développement durable. Tous se sont engagés dans une démarche équitable et responsable, un grand nombre d’entre eux ayant participé l’an dernier à l’opération "Equi'tables".

Le label « Lyon Ville équitable et durable » est décerné en fonction de 3 critères : consommation durable et équitable (produits locaux utilisés, de produits biologiques, issus du commerce équitable, ou encore éco-labellisés) , respect de l'environnement (maîtrise de la consommation d’énergie, gestion des déchets…), prise en compte de l'utilité sociale (action de solidarité, action de sensibilisation au développement durable), ceux-ci étant évalués à l'aide d'une grille et soumis au comité des sages composé d'organismes indépendants et reconnus : Max Havelaar, La Plate-Forme pour le Commerce Équitable (PFCE), l'ADEME, l'AFNOR, Chambre régionale de l’économie sociale et solidaire de Rhône Alpes (CRESS) et Promotion de l'Economie Sociale et Solidaire (PROMESS).

Le critère « consommation durable et équitable » répond à plusieurs exigences telles que le pourcentage de produits locaux utilisés, de produits biologiques, issus du commerce équitable, ou encore éco-labellisés.

Les restaurateurs et les hôteliers intéressés  peuvent faire parvenir leur dossier de candidature dès à présent à l'adresse ci-contre :

http://www.lyon.fr/static/vdl/contenu/evenements/label_equitable_durable/dossier_candidature_label_v2.doc

En tout, 80 structures lyonnaises ont été labellisées.

27/05/2010

Chez Loewe : enfin une télé responsable !

Téléviseur Systeme-Individual--LOEWE Alors que la Coupe du monde de foot va bientôt démarrer et les retransmissions battre leur plein dans de nombreux établissements, la plupart des fabricants de téléviseurs lancent des nouvelles gammes ultra plate avec ou sans fonction 3D.

Pour les restaurants et les hôtels, notre attention s’est plutôt portée sur la nouvelle version du fameux téléviseur "Individual" de Loewe – l’un des derniers fabricants européens avec un seul site en Allemagne – qui conçoit et distribue des téléviseurs, lecteurs Blu-ray, graveurs, DVD etc. Cette entreprise s’est depuis longtemps engagée pour le respect de l’environnement et a fabriqué dès 1995, un téléviseur entièrement recyclable.

La nouvelle génération de téléviseurs Individual de Loewe, dotée de la dernière technologie de retro éclairage LED, intègre une grande quantité de fonctions et devient ainsi d’une redoutable efficacité énergétique. Cette nouvelle gamme, dont la commercialisation vient de débuter, consomme en effet 45% en moins d’énergie que la précédente. Le modèle 46 pouces, avec son ébénisterie plus mince, économise 8,4kg de matériaux (soit 25%) qui ne seront ni produits, ni emballés, ni transportés, ni à recycler… L’économie de matériaux est liée principalement à la suppression des boîtiers, blocs d’alimentation, câbles, télécommandes et piles qui à eux seuls sont particulièrement énergivores.
Si l’on doit comparer cette nouvelle gamme avec des téléviseurs d’autres marques, il est nécessaire d’ajouter la consommation électrique produite par des boîtiers, décodeurs et périphériques externes qu’un Individual de Loewe nouvelle génération remplace complètement.
Un téléviseur Loewe intégrant les réceptions TNT, Câble et/ou Satellite ainsi qu’un magnétoscope numérique, et un graveur DVD externe (Loewe), consomment moins de 2 Watts/heure en mode veille (téléviseur tout-en-un < 1 Watt, graveur DVD < 1 Watt). Une installation non Loewe comprenant un téléviseur, un boîtier décodeur (TNT, Câble ou Satellite) et un graveur DVD/magnétoscope numérique externe, consommera en moyenne 19 Watts/heure en mode veille selon la
DENA, Deutsche Energie Agentur, l’agence allemande de l'énergie.

Une entreprise impliquée sur le plan environnemental
D’une manière générale, l’entreprise soumet régulièrement ses améliorations pour l'environnement aux contrôles d’instituts indépendants. Depuis 2006, tous les produits satisfont à la directive européenne RoHS (limitation de l'utilisation de matières dangereuses). Loewe participe également au Pacte bavarois pour l'environnement : 99% des déchets sont recyclés. Lors de la conception des produits, l’entreprise fabrique des appareils faits pour durer : utilisation exclusive de plaques conductrices sans halogène et sans soudure au plomb, boîtiers en plastique sans halogène. Loewe impose en outre à ses fournisseurs le respect de ses exigences comme de ne pas utiliser de substances nocives classées dans les listes REACH (Registration, Evaluation and Authorisation of Chemicals/Parlement Européen) et de l’ECHA (Agence européenne des produits chimiques). Enfin, Loewe assure toutes ses livraisons avec des emballages réutilisables.
Quant à l’utilisation d’aluminium pour ses produits, c’est une volonté de Loewe car c’est une alternative sensée aux matières plastiques. En plus de son aspect esthétique, ce matériau a un avantage environnemental car il est parfaitement recyclable. Seule une infime partie de l’énergie consommée lors de sa production est perdue, car une fois produit, l’aluminium peut être indéfiniment refondu et réintégré au cycle de production en nécessitant alors moins de 5% de l’énergie nécessaire à sa production initiale.

Une entreprise bien implantée dans l’univers hôtelier

Pour équiper les restaurants et les hôtels, Loewe s’appuie sur son partenaire exclusif, Intens France, avec qui la société collabore depuis plus de 20 ans. Intens France a développé un département "Premium" où les collaborateurs de l’entreprise répondent aux besoins audiovisuels des palaces ou des résidences hôtelières. La société a la particularité d’intégrer tous les corps de métiers (audit, conseil, installation, maintenance, réseau d’antenne numérique…), excluant de ce fait toute sous-traitance et garantissant ainsi des solutions à la fois sur mesure, complètes et clé en main. Avec des téléviseurs personnalisables du point de vue technologique et esthétique, Intens France peut par exemple installer et paramétrer un parc de téléviseurs qui recevront 1 000 à 3 000 chaînes, en qualité numérique, personnaliser les télécommandes, les pieds ou les fixations murales, paramétrer un service de vidéo à la demande (VOD) au sein d’un établissement . Côté logiciel, Intens France travaille avec Deuromedia qui développe des plateformes interactives de très haut niveau qui intègrent les toutes dernières technologies tout en privilégiant la simplicité d’utilisation.

De plus en plus sensibles à la qualité des prestations numériques proposées à leurs clients mais aussi au développement durable et aux économies induites sur les comptes de l’exploitation, de nombreux hôtels se sont laissés séduire par le savoir-faire de cette équipe professionnelle. Après le Bristol, l’Eden Roc ou le Grand Hôtel du Cap Ferrat, le nouvel Intercontinental Marceau à Paris et l’Hôtel Le Burgundy qui vient d’ouvrir ses portes rue du Faubourg St Honoré, vont être équipés avec cette nouvelle génération de téléviseurs.

Nelly Rioux

nelly.rioux@gmail.com

27/05/2010

Lenôtre se dote d’une direction Développement durable

En poste depuis janvier 2010, Didier Ferré, le directeur du Développement durable de Lenôtre, ne peut que constater l’étendue de sa mission. « Il s’agit de rattraper notre retard par rapport au Groupe Accor (auquel appartient Lenôtre, ndlr) et de nous positionner en tant que leader sur la question du Développement durable sur le marché traiteur haut de gamme », explique l’ex directeur des achats de la maison. La certification ISO 14001 (Système de management environnemental) du Pré Catelan obtenue en avril dernier constitue une base appréciable de réflexion. « C’est un moyen de mettre toutes les procédures à plat et de se placer dans une optique d’amélioration continue », poursuit Didier Ferré qui insiste sur l’ampleur de la collecte d’informations nécessaire à la mise en œuvre de la certification et sur le travail induit par la rédaction des procédures. « Au niveau commercial, cela constitue un plus lorsque nous répondons à des appels d’offre d’entreprises du CAC 40 qui nous questionnent sur nos pratiques environnementales » ajoute-t-il. Un Bilan Carbone® pourrait être réalisé en 2011 dans le restaurant étoilé.  

Dans sa démarche, la jeune direction Développement durable  s’appuie sur des échanges de bonnes pratiques avec le Comité Colbert, sur une Charte Développement durable, sur la mise en place d’objectifs triennaux,  ainsi que sur un tableau de bords destiné à suivre les investissements réalisés (50 000 euros au Pré Catelan).  Elle dispose de « correspondants  DD » dans chaque établissement et département, chargés de diffuser les bonnes pratiques et les éco-gestes. Un intranet permet de susciter adhésion et réactions parmi les collaborateurs.

Bilan énergétique

Réalisé sur l’ensemble des établissements du groupe, un bilan énergétique a produit de premiers indicateurs sur les consommations. « Nous mesurons déjà des économies d’au moins 15 %  grâce à la pose de compteurs, mais nous n’aurons pas un retour complet d’informations avant un an. Nous avons également revu nos contrats avec nos fournisseurs d’énergie »poursuit le directeur Développement durable qui indique également la mise en œuvre d’une réflexion sur la récupération de la chaleur émise par les fours afin de chauffer l’eau. Inspiré de l’ISO, un système de management environnemental a été mis en place à Plaisir (78), sur le site de production. Par exemple, l’eau utilisée pour faire refroidir les crèmes pâtissières est récupérée. Des pulvérisateurs d’eau avec dosage automatique des produits d’entretien ont été installés sur les stations de lavage ainsi que des compteurs divisionnaires sur chaque pose, des objectifs d’économie ayant été fixés à chacun d’eux.

Adaptée aux spécificités du traiteur, la Charte d’achats durables d’Accor suppose d’auditer (sur une base déclarative)  les principaux fournisseurs de l’enseigne sur leurs pratiques environnementales et sociales. « Une initiative assez bien perçue de leur part » selon Didier Ferré qui mentionne les autres volets  de sa mission : l’éco-conception des emballages, le traitement des déchets organiques, l’organisation du covoiturage… Un vrai projet d’entreprise.

Didier Ferré  « Le service des Ressources humaines accompagne la mise en place du volet social de la démarche Développement durable» précise DidierFerré.

Des infos sur l’Iso 1400 sur http://www.iso.org/iso/fr/iso_14000_essentials

Approvisionnement : la contrainte des quantités

Pas facile de raisonner circuits courts, bio ou équitable lorsque l’on travaille de grosses quantités. « Pour nous, le plus près, c’est Rungis en termes de logistique. Ensuite, le produit peut provenir effectivement d’autres lieux plus ou moins éloignés, voire très loin. En hiver, se pose le problème de la restriction des choix en matière de fruits et légumes. Vu notre taille, le bio, le circuit court et l’équitable ne sont pas envisageables. Nous avons cependant des fraises produites en culture raisonnée en région parisienne et que d’autres acheteurs veulent également se procurer ! De plus  nous ne voulons pas travailler avec des petits producteurs que nous rendrions dépendants en achetant toute leur production » commente Didier Ferré.

27/05/2010

La filière pêche et produits de la mer se réunira à Paris le 23 juin prochain

Le marin et PdM-Produits de la Mer organiseront le 23 juin prochain à Paris, Auditorium Centre Marceau, les Assises de la filière Pêche et Produits de la Mer qui réuniront les acteurs économiques et politiques de la filière Pêche et Produits de la Mer (producteurs, transformateurs et distributeurs). Le programme sera constitué  de conférences et de débats animés par les journalistes du marin et de PdM, avec pour principaux thèmes l'organisation de la filière, les relations producteurs – distributeurs, la communication collective et l'interprofession, avec, en ouverture, Bruno Le Maire, Ministre de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Pêche.

Programme :

8h30-9h00 – Accueil des participants

9h00-9h30-Ouverture

Bruno Le Maire, Ministre de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Pêche

9h30-10h00-Introduction
Le secteur de la pêche et des produits de la mer en France et en Europe : situation et perspectives

Faut-il réorganiser la filière pour créer et mieux partager la valeur ?

10h00-11h15 – Amont : une meilleure organisation peut-elle réduire la fluctuation des approvisionnements et  stabiliser les prix ?

• Massification de l’offre : comment mieux planifier et mieux organiser les approvisionnements ?

• Quels impacts sur les métiers de l’amont (producteurs, mareyeurs, transformateurs) ?

• Vers une concentration du secteur ?

11h15-11h45 – Pause
 11h45-13h00 –  Commercialisation : Quelles nouvelles relations producteurs-distributeurs-consommateurs ?
• La contractualisation permet-elle un meilleur partage de la valeur ?
• Quelle contractualisation en termes de qualité et de prix ?
• Quels sont les avantages et les risques des circuits courts

Avec, parmi les intervenants : François Jourdain, Directeur marketing, Pomona Terre Azur
13h-14h30 – Déjeuner

Mieux valoriser la production, mieux communiquer

 14h30-15h00 – Campagnes environnementalistes, image de la profession et des produits : Comment se défendre collectivement ?

15h00-16h15-  L’enjeu des marques collectives
• Quel positionnement de la « Marque France » vis-à-vis des autres marques collectives (régionales, qualité, marques distributeurs) ?
• La marque collective : outil marketing ou label qualité ?
Témoin : Johan Kvalheim, Directeur général de Norge, Centre des Produits de la Mer de Norvège

16h15-17h30 – Interprofession : Tous dans le même bateau ? 

17h30 – Clôture des débats
Philippe Mauguin, Directeur des pêches maritimes et de l’aquaculture.

Renseignements et inscriptions : info@assisesfilierepeche.com

 


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25/05/2010

« Bio Chez Toi », des formations gratuites pour la restauration collective

Pour sensibiliser un large public sur les produits de l'agriculture biologique et de promouvoir la consommation de ces produits, Bio chez Toi (campagne financée par l’Union Européenne et l’Italie) vise tout particulièrement les professionnels de la restauration- cuisiniers, diététiciens, acheteurs, gestionnaires des collectivités territoriales…

Le programme consiste à placer les impacts environnementaux dans une optique de cycle de vie. Les thèmes abordés au cours des sessions sont très diversifiés. Ils visent à sensibiliser les personnes et à leur montrer que des actions concrètes sont possibles mais qu'il est très important de les situer dans un cadre général d'éco-efficacité du service. Les thèmes traités sont :

·     Les instruments pour mettre en place un service de restauration durable

·     Les matières premières alimentaires

·     Les impacts environnementaux de la logistique

·     L’organisation du service de restauration

·     La gestion des déchets

·     La communication environnementale.

·     Les achats verts publics

Deux formations différentes sont proposées :

·     Formation d'une journée (9h30 – 17h30) dédiée à la restauration collective « durable » qui utilise des produits biologiques. Des approfondissements techniques et opérationnels seront proposés aux participants.

·     Formation d'une demi-journée (9h30 – 13h30) Stratégie et planification : sensibiliser, mettre en place et pérenniser la démarche pour un service de restauration collective durable qui utilise des produits biologiques.

Lieux et dates :

Lyon:

31 mai, 9h30 – 17h30 et 1er Juin 2010, 9h30 – 13h30

AGRAPOLE – ISARALyon

23, rue Jean Baldassini

Montpellier:

14 et 15 Juin 2010

AGROPOLIS INTERNATIONAL,

Avenue Agropolis, Montpellier

Lille:

24 et 25 Juin 2010

A définir

Rennes :

29 et 30 Juin 2010

AGROCAMPUS OUEST Rennes

Renseignements :

www.ecomeal.info,

info@risteco.it.

25/05/2010

Solar Hôtel : le petit déjeuner bio 20 % moins cher qu’un petit- déjeuner « conventionnel »

Dans son hôtel économique et écologique Solar Hôtel (rue Boulard, Paris, XIVe), Frank Laval a conçu une offre petit déjeuner tout bio dont le prix est inclus dans le prix de la chambre (59 euros). Une folie ?  Non. « Si ce petit déjeuner me coûte en moyenne 20 % moins chez qu’un petit déjeuner classique, c’est par ce que j’ai abandonné le grand standard du jus d’orange.  Le coût du jus de pomme est au tiers de celui de l’orange », explique l’hôtelier pour lequel « le prix est un acte militant ». Il achète en grosse quantité tous les autres ingrédients bio livrés en caddie (à pied) par le magasin Naturalia situé au bout de la rue et avec lequel il a conclu un accord commercial. « Nous servons le sucre en poudre dans un sucrier avec bec verseur, la confiture est posée sur le table dans de petits ramequins, ainsi que le beurre » poursuit le patron. L’absence de stock et donc de perte, le prix semi-professionnel négocié permettent d’ajuster le coût de revient au plus juste. « C’est vrai que la mise en place nécessite de la main-d’œuvre mais comme la réception a été réduite à l’extrême grâce au prix unique, alors cela s’équilibre au niveau des heures travaillées » ajoute Franck Laval.

Le militant, président de l’ONG Ecologie Sans Frontière, caresse le projet d’ouvrir un restaurant, un Solar Café, sur le même modèle que son hôtel : économique en énergie, en eau et chauffage, mettant en œuvre le tri sélectif, le compostage des déchets organiques, et bien sur proposant des menus à base de produits bio.  « Je ne suis pas restaurateur et je souhaiterais d’un cuisinier décide de foncer avec moi » précise Frank Laval qui est en pourparlers avec des restaurateurs voisins du Solar Hôtel.

Franck Laval

  Franck Laval caresse le projet de constituer un pôle de commerces de produits

19/05/2010

L’Alliance Produits de la mer et le Lycée hôtelier de Dinard partenaires le 20 mai

L’Alliance Produits de la mer et le Lycée hôtelier de Dinard s’associent autour de la journée Produits de la mer et Préservation des ressources qui se déroulera  le jeudi 20 mai 2010 de 8h30 à 18h30.Placée sous le parrainage de Jean-Marie Baudic, chef du Youpala Bistrot à Saint-Brieuc,  cette journée a pour objectif de sensibiliser et d’informer les élèves, futurs professionnels, sur les enjeux auxquels doivent faire face les ressources aquatiques et sur le rôle que les restaurateurs peuvent jouer dans la préservation des ressources. Le Guide des espèces à l’usage des professionnels édité par l’Alliance Produits de la mer, qui présente les différentes espèces commercialisées en France, Belgique et Suisse sous l'angle de la durabilité, sera également présenté. Cette journée permettra d’initier le dialogue entre les professionnels de la filière et les élèves du lycée hôtelier. Un déjeuner « spécial produits de la mer durables » élaboré par les élèves, leurs professeurs et en collaboration avec Mickaël Tanguy, chef du Bélouga à Perros-Guirec, ponctuera la journée.

19/05/2010

La Restauration collective s’est mise au vert selon L’Agence bio

Selon les chiffres présentés ce matin par l’observatoire de la bio de l’Agence bio, la restauration collective a effectué en 2009  deux fois plus d’achat bio qu’en 2008, les montants avancés étant de 92 millions d’euros (hors achat de pain) en 2009 contre 44 millions dépensés en achats bio l’année précédente. Les fruits, les produits laitiers, les légumes arrivent en tête des ventes. L’observatoire relève également la progression réalisée par les légumes surgelés bio et celle du pain frais bio. «Il s’agit d’une approche de plus en plus réfléchie qui joue sur l’alimentation bio surgelée afin d’assurer la continuité de l’offre » a souligné Elizabeth Mercier, directrice de l’Agence bio. En 2010, 40 % des restaurants collectifs proposent de l’alimentation bio au moins de temps en temps contre 36 % l’an dernier.

L’introduction du bio dans les repas revêt différentes formes, du ‘simple’ produit  au plat complet voire au menu entier. 49 % des restaurants collectifs proposent des ingrédients bio au moins une fois par mois, et 13 % quotidiennement (5 % en 2009). Ce sont les restaurants scolaires qui se sont les plus engagés dans la démarche (51 % d’entre eux).

Selon Elizabeth Mercier, « «37 % des gestionnaires qui n’ont pas encore introduit le bio dans leurs restaurants ont déclaré avoir l’intention de le faire d’ici à 2012 dont 15 % de manière certaine ».

Les achats de bio  (hors pain) en restauration collective représentent 1,3 % des achats alimentaires de la restauration collective et 3 % du marché de l’alimentation biologique.  

Agence bio Elizabeth Mercier

 

 

 

 

Elizabeth Mercier  

Le 8 juin, les Rencontres nationales : « Dynamique de développement de l’agriculture biologique et l’introduction de produits bio en restauration collective ».

De 9 heures à 17 heures 30,  Ménagerie de Verre, 12/14, rue Léchevin, 75011 Paris, programme et inscription téléchargeable sur www.agencebio.org

12/05/2010

Solidar’Monde ouvre son dépôt aux professionnels

Solidar'Monde 2 Solidar’Monde, la centrale d’achat  des produits Artisans du Monde  créée en 1984, a ouvert le premier Cash &Carry  de produits équitables (alimentation, décoration, textile…). L’entrepôt de 300 m2 est situé en banlieue parisienne, à Vitry-sur-Seine (94). Les professionnels de la restauration y trouveront 200 références alimentaires (sur un total de 1 200) : des produits secs, des  jus, et des épices, certaines disponibles en gros conditionnement comme le quinoa vendu en 5 et 15 kg, le riz parfumé du Laos en 5 kg, les pâtes au quinoa en 5 kg… Tous les produits sont labellisés par Fairtrade-Max Havelaar, ou issus de coopératives certifiées WFTO et/ou Artisans du Monde. Certains sont en bio, certifiés Agriculture Biologique – ECOCERT. Solidar’Monde est membre de l’EFTA (European Fair Trade Association), l’association européenne des centrales d’achat de produits du commerce équitable, ainsi que de WFTO, organisation mondiale du commerce équitable.

Solidar'Monde 1 Christian Bonnal, le PDG, et Jean-Marc Brunet, le directeur général de la centrale d’achat Solidar’Monde souhaitent développer la vente avec les acteurs de la restauration.

10/05/2010

Le premier Cash&Carry équitable ouvrira mardi 11 mai à Vitry-sur-Seine

Solidar’Monde, la centrale d’achat  des produits Artisans du Monde  créée en 1984, ouvrira demain à Vitry-sur-Seine (94) le premier Cash &Carry équitable, c'est-à-dire son entrepôt aux à la vente aux professionnels et aux associations. Elle propose plus de 1200 références issues de 150 organisations de producteurs dans les pays du Sud à des professionnels qui s’engagent ou souhaitent s’engager dans une démarche de développement durable. Art de la table, décoration, jouets, instruments de musique, habillement, épicerie et cosmétique… Tous les produits sont labellisés par Fairtrade-Max Havelaar, ou issus de coopératives certifiées WFTO et/ou Artisans du Monde. Certains sont en bio, certifiés Agriculture Biologique – ECOCERT. Solidar’Monde est membre de l’EFTA (European Fair Trade Association), l’association européenne des centrales d’achat de produits du commerce équitable, ainsi que de WFTO, organisation mondiale du commerce équitable.

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