17/09/2014
Brake réaffirme son éco-engagement avec l’ISO 26000
A son arrivée au poste de responsable de développement durable chez Brake en 2012, Claire Iffenecker a placé sa réflexion dans l'axe de l'ISO 26000. Une démarche de progrès, plutôt qu'une norme, lui permettant de clarifier les actions du grossiste distributeur en matière de RSE, et dont elle a confié l'évaluation à l'AFAQ. Fin octobre, les fournisseurs, les clients et les principales parties prenantes de Brake recevront un petit magazine de 8 pages, intitulé "Attitudes responsables", récapitulant l'ensemble des bonnes pratiques mises en œuvre.
"48 interviewes ont été réalisées auprès des collaborateurs des sites et du siège, nous avons pu évaluer où ils en étaient en matière de Développement durable afin de dégager des pistes d'actions et de progrès. C'est très positif pour notre dynamique interne", explique Claire Iffenecker. 5 groupes de collaborateurs ont été associés à la réflexion sur la gestion des déchets, la formation des chauffeurs à l’éco-conduite, a mise en place d’un partenariat avec le réseau des banques alimentaires, la mise en place d’un outil de reporting environnemental et social et sur les achats responsables.
Produits, environnement et hommes
Brake travaille en partenariat avec un tissu de petites entreprises artisanales qu’elle connecte et valorise auprès de ses clients restaurateurs. Pour aller au delà, Brake se lance, pour ses produits à marque, dans la mise en place d'une grille d’évaluation des fournisseurs en fonction de critères de respect des droits de l’homme, d’éco-conception des emballages, d'utilisation d’additifs, d’allergènes, et de bien-être animal. Pour réduire les impacts liés aux transports, les chauffeurs (plus de 400 camions) sont progressivement formés à l'éco-conduite. Déjà l'équivalent de 540 000 km ont été économisés en 5 ans, l'objectif étant que l'ensemble des chauffeur soient formés d'ici à 2015 et que les émissions de GES (gaz à effet de serre) reculent de 5 % entre 2012 et 2015. Dans les dépôts, un programme de sensibilisation a vu le jour pour améliorer le taux de tri et de recyclage (carton, papier, plastique et bois).
En ligne de mire également, le gaspillage : 16 tonnes de produits sont données aux banques alimentaires, soit 0,20 % de la casse survenues sur les 177 000 tonnes de produits alimentaires transportées annuellement. 15 autres tonnes sont méthanisées dans le cadre d'un partenariat avec Agrivalor. "Nous espérons que 5 des 12 de nos gros sites logistiques seront équipés pour traiter les déchets alimentaires d'ici un an", présice encore Claire Iffenecker.
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